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AFP/Archives / Pascal GUYOT
Le Monégasque Kylian Mbappé (g) fête le but de son coéquipier Tiémoué Bakayoko contre Manchester City, le 15 mars 2017 à Louis-II
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AFP/Archives / VALERY HACHE
L'attaquant colombien de Monaco Radamel Falcao lors d'un entraînement, le 14 mars 2017 à La Turbie
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AFP/Archives / Michael Buholzer
La Fifa a annoncé vendredi avoir remis à la justice suisse le résultat de son enquête interne ouverte en juin 2015 juste après le déclenchement de la plus grave crise de corruption de son histoire.
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AFP/Archives / DOMINIQUE FAGET
Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, le 29 juin 2016 à Paris
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Le 3e jour de la Conférence d’entente nationale a été marqué par un débat houleux autour du terme “Azawad“ et son contenu. Les participants n’ont pas pu se mettre d’accord.
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Renvoyée le 22 mars, pour la production des preuves par la défense, l’audience de l’affaire de mœurs à l’Assemblée nationale a repris ce mercredi 29 mars au Tribunal de grande instance de la Commune I. Aux termes des débats, le président du tribunal a annoncé le verdict au 5 avril.
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Le budget individuel de l’utilisation du téléphone portable est un désastre pour l’économie des ménages au Mali. Un doigt accusateur est pointé sur l’Etat qui ne protège pas les consommateurs. Outre son rôle de catalyseur de la croissance économique, le téléphone mobile a un impact ‘’négatif’’ sur l’économie familiale. Les sociétés de téléphonies, Sotelma-Malitel et Orange Mali contribuent dans une certaine mesure à appauvrir les Maliens.
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Certes, la Constitution n’est pas un texte sacré ou intangible. Mais, comme il s’agit, malgré tout, d’un texte de nature particulière, sa révision mérite un minimum de protection contre les appétits gloutons de responsables politiques qui, pour mieux l’adapter à leur désidérata, n’hésitent pas à la défigurer et à la démolir. Tel est aujourd’hui le sort qui guette la Constitution du 25 février 1992, menacée jusque dans ses fondements. Car, argumente le constitutionnaliste Brahima Fomba, la nouvelle modalité de révision proposée par le projet de loi constitutionnelle renvoie à la problématique fondamentale de la suprématie de la Constitution dont la garantie semble sérieusement compromise par le mouvement de banalisation qu’elle entraîne. Or, poursuit-il, c’est à travers sa procédure de révision qu’une Constitution organise la garantie de sa propre rigidité et de sa propre suprématie. Dans l’analyse qui suit, Dr Fomba donne plus de détails sur les ambitions inavouées du président Ibrahim Boubacar Kéïta de banaliser la révision constitutionnelle en cours.
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